Comprendre et reconnaître le stress dans notre vie quotidienne
- stephany de la cruz martinez
- 1 mars
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 6 heures

Le stress est un phénomène que chacun d’entre nous rencontre à un moment ou un autre de notre vie. Il fait partie intégrante de notre quotidien, mais peu d’entre nous comprennent réellement ce qu’il implique, comment il fonctionne et, surtout, comment le gérer de manière efficace. Nous allons explorer la nature du stress, ses causes, ses effets sur notre corps et notre esprit. Dans un autre post, j'aborderai comment apprendre à le gérer.
Qu'est ce que le stress ? Définition
Issu du latin « Stringere » (Mise en tension). C'est l'ensemble de réactions de l'organisme à des stimuli divers non spécifiques mais dont le caractère nocif conduit à une perturbation de l'homéostasie. Le stress correspond à des situations éprouvantes qui imposent à l'organisme des efforts d'adaptation qui sont à la limite ou dépassant ses capacités, pouvant aboutir à des états pathologiques.
Le stress est une réaction naturelle de notre corps face à une situation perçue comme un défi ou une menace. Ce mécanisme, ancré dans notre évolution, était vital pour la survie de nos ancêtres. Imaginez nos premiers ancêtres confrontés à un prédateur : leur réaction immédiate de fuite ou de combat, dite "réaction de lutte ou de fuite", était essentielle à leur survie.
Aujourd’hui, bien que les menaces immédiates aient changé, notre corps réagit de la même manière à des situations stressantes telles qu’un examen, une présentation au travail, ou même des conflits relationnels. Le stress, dans sa forme aiguë, peut donc être une réponse adaptative qui nous aide à réagir face à des défis immédiats.
Cependant, lorsque ce stress devient constant, il peut se transformer en une pression persistante qui affecte notre santé physique et mentale.
C'est une réalité subjective qui dépend à la fois :
De la situation stressante.
De la façon dont l'individu la perçoit ou la vit.
Ce n'est pas une émotion, mais une réponse « en cascade » du corps tout entier face à un danger.
Le stress est émotionnellement utile. C'est un système de défense immédiat de notre corps. Il met en œuvre 2 systèmes de défense :
Le système nerveux qui va déclencher une réponse immédiate de notre corps en produisant de l'adrénaline (Apport énergétique, accélération du rythme cardiaque augmentant la circulation sanguine).
Le système hormonal qui apporte une réponse plus tardive prenant le relais en produisant des hormones corticoïdes : La cortisone, le cortisol ...
Les différents types de stress
Selon notre nature, nous allons aborder le stress de manière différente.
Tout au long de notre vie, les événements sont source de stress. Mais cela ne signifie pas que tout le monde va être angoissé, déprimé, anxieux.
Selon notre tempérament, on peut avoir une vie stressante mais continuer à être bien détendu et à bien dormir la nuit.
On peut considérer 2 façons de comprendre cette réaction :
Pour certaines personnes, le stress est vécu de façon positive. Il leur faut une agression extérieure pour se sentir bien, travailler.
Pour d'autres en revanche, le stress est une agression. Toutefois, ils peuvent mettre des parades, des mécanismes d'adaptation pour réagir positivement. Ces personnes vont préférer la fuite (Aller faire du jogging, méditer, faire du sport ...)
Et puis il y a les personnes qui sont "empoissonnées" par le stress quotidien. Car le stress est devenu répétitif. Ces personnes n'ont pas réussi à mettre en place des mécanismes contre le stress.
C'est en cela que l'on va définir 3 types de stress :
L'eustress (Le bon stress) : Face au stress la personne a déclenché une réaction adaptée face à un agent stressant. Elle est redevenue à son état normal de santé. La situation s'est terminée positivement. La personne vit le stress comme une motivation. Dans cette catégorie de stress, on retrouve les personnes qui sont "accros à l'adrénaline", celles qui travaillent beaucoup, qui ont une vie sociale intense ... Le stress permet à ces personnes de se sentir vivantes.
L'overstress : Dans ce cas la personne déclenche une réaction inadaptée face à une agression. Elle ne revient pas à son état normal. L'état de santé sera perturbé. On est dans du stress chronique.
L'hypostress : C'est une réaction à l'opposé de l'hyperstress. Cet état est provoqué quand on ne met pas assez d'intensité dans notre lutte face au stress. On est mou, amorphe. On a la sensation d'avoir les jambes coupées, d'être en dessous de tout. Il y a un manque de stimulation.

Les causes du stress
Les causes du stress sont multiples et varient selon les individus. Cependant, on peut généralement les regrouper en plusieurs catégories principales :
Le stress lié au travail : Le stress professionnel est l'une des formes de stress les plus courantes dans notre société moderne. Les pressions liées aux délais, aux objectifs de performance, à la gestion d’une équipe, ou encore à des relations difficiles au sein de l’entreprise peuvent être des sources de stress considérables.
Le stress lié aux études : Le stress des étudiants est de plus en plus important. La pression des études, des parents, la réussite, le coût financier de celles-ci sont autant de facteurs.
Le stress personnel : Les préoccupations liées à la famille, aux amis, à la gestion de la vie quotidienne ou encore aux conflits interpersonnels peuvent également engendrer du stress. Le stress familial, par exemple, peut être lié à l'éducation des enfants, aux responsabilités financières ou à des problèmes de santé d’un proche.
Le stress lié à la santé : Les maladies, la douleur, ou même la crainte de la maladie peuvent également provoquer du stress. Ce type de stress peut être particulièrement intense si la personne est confrontée à une maladie grave ou à une situation de santé incertaine.
Le stress environnemental : Les facteurs extérieurs comme le bruit, la pollution, ou même la météo peuvent affecter notre niveau de stress, surtout si ces éléments perturbent notre confort et notre bien-être quotidien.
Le stress émotionnel et psychologique : Il peut être lié à des événements de vie majeurs tels que la perte d’un être cher, un divorce, un déménagement, ou une rupture. De tels événements déclenchent souvent une réponse émotionnelle intense, générant un stress important.

Les mécanismes du stress dans ton corps
Quand un événement stressant arrive, notre organisme met en action 2 systèmes :
Le système nerveux autonome. Il y a une sécrétion d'hormone qui se produit.
Le système endocrinien , par la sécrétion d'hormones également mais de façon moins rapide que le 1er système.
Le stress et le système nerveux autonome
On l'appelle également le système nerveux neurovégétatif. Il régule l'ensemble de nos fonctions vitales :
La respiration.
Les battements cardiaques.
La pression artérielle.
La température du corps.
Notre motricité.
La digestion ...
Il est le garant de l'homéostasie (L'équilibre du corps). Il permet à ce que ton corps s'adapte à son environnement sans pour autant avoir des perturbations. Il a donc un rôle important.
Le système nerveux autonome comprend 2 systèmes :
Le système nerveux sympathique (Ou orthosympathique) : Il est responsable de l'activité inconsciente de l'organisme (Contraction de certains muscles, rythme cardiaque...). Il prépare le corps à l'action et tient le rôle d'alarme. Il va y avoir une libération de la noradrénaline et de l'adrénaline.
Le système nerveux parasympathique : Il contrôle les activités involontaires de l'organisme (Les organes, les glandes, les vaisseaux sanguins). Il alimente et génère le métabolisme. Il donne l'énergie. Il est responsable du ralentissement cardiaque et de l'augmentation des sécrétions. Il est le frein, qui fonctionne quand l'organisme est au repos.
Ces 2 systèmes travaillent ensemble. En fonction de la situation, un des 2 systèmes sera au-dessus de l'autre. C'est pour donner au corps la réaction adéquate en fonction du stress.
Le stress n'est pas une mauvaise chose en soi. Le stress nous permet de nous sortir de situations dangereuses.
Prenons l'exemple, malheureusement que l'on rencontre de plus en plus, d'une personne qui veut vous attaquer.
2 réactions sont possibles : Soit tu fais face à cette individu, soit tu pars en courant.
Et tu peux déjà imaginer les réactions de ton corps. Le cœur va s'accélérer et ta tension artérielle va augmenter afin d'amener le plus possible de sang aux muscles.
Au niveau de la respiration, les bronches vont se dilater pour que le sang soit chargé au maximum d'oxygène.
Les réserves en sucre vont être utilisées pour la fabrication d'énergie. Et bien d'autres mécanismes vont se mettre en place.
Le corps met tout en œuvre pour que tu restes en vie. Tes capacités vont être décuplées. Tu vas courir aussi vite que l'éclair. C'est notre instinct de survie.
Et à contrario toutes les fonctions secondaires vont être ralenties.
Ce système est le premier à intervenir en cas de stress. Tu as une réaction presque immédiate.
Le stress et le système endocrinien
Ce système est composé de glandes situées dans différentes parties du corps :
L'hypophyse, dans la boîte crânienne.
La glande thyroïde et les glandes parathyroïdes dans le cou.
Le thymus dans le thorax.
Le pancréas et les glandes surrénales dans l'abdomen.
Les ovaires ou les testicules dans le bassin.
Les glandes libèrent des hormones qui stimulent la croissance, contrôlent la température du corps, aident à générer de l'énergie. Elles régulent également les pulsions et les émotions fondamentales comme la violence, la colère, la peur, la joie, la tristesse...
Les glandes surrénales sécrètent l'adrénaline qui est libérée lors d'un stress, en phase initiale.
Lors d'un stress, la principale hormone sécrétée est le cortisol.
Il existe 3 phases importantes du stress

Phase 1 d'alarme du stress : Perturbation
Le corps se prépare à réagir face au stress. L'organisme subit le stress. Le stress déclenche une mise en alerte générale caractérisée par des modifications des paramètres biologiques et augmentation de la vigilance.
Cette phase est celle du stress naturel.
On ressent les changements apportés par ce stress : Respiration accélérée, pouls accéléré, transpiration...
Ces symptômes montrent que l'organisme se met immédiatement et instinctivement en mobilisation générale, par une cascade de réactions contrôlées et régulées par le système nerveux orthosympathique et les glandes endocrines.
L'hypothalamus a reçu le message du stress, et va envoyer un signal aux glandes surrénales, qui vont libérer l'adrénaline et un message au système sympathique qui va libérer de la noradrénaline, pour que notre corps réagisse au stress et soit en état de vigilance.
Cette adrénaline permet de préparer l'organisme à l'action physique rapide et la noradrénaline va stimuler les sens et la concentration. Il y aura par la suite une suite de réactions physiques (Les poumons, la gorge, les narines s'ouvrent pour laisser passer plus d'air, la pression artérielle augmente, le rythme cardiaque s'accélère, le sang est dirigé en priorité vers les organes vitaux et les muscles, le système digestif est ralenti...)
La phase 2 d'adaptation du stress : La résistance
Après quelques minutes, après la phase d'alarme du stress, d'autres mécanismes vont se mettre en place.
L'organisme va agir comme si sa survie était menacée.
La stimulation de l'hypothalamus en phase d'alarme du stress va également stimuler l'hypophyse qui elle-même va stimuler les glandes surrénales afin qu'elles libèrent du cortisol et de l'aldostérone.
Le cortisol participe à la régulation des graisses, du système immunitaire. Dans un processus de stress, il élève le taux de glycémie (Pour donner de l'énergie pour faire face au stress) dans le sang en transformant les graisses en sucre. Ce qui peut peut-être expliquer en partie, pourquoi on grossit quand on est en stress permanent
L'organisme libère l'énergie nécessaire pour faire face à la situation. L'organisme s'adapte au stress en mobilisant les ressources énergétiques internes nécessaires pour maîtriser la nouvelle situation.
L'aldostérone (Hormone stéroïde), joue un rôle dans le maintien de l'équilibre sodium-potassium, mais aussi dans la tension artérielle.
On comprend donc que si le stress dure, on a du souci à se faire pour notre santé !!!
Pendant cette phase de résistance au stress, d'autres hormones vont être libérées :
La dopamine : Qui est un neurotransmetteur a un rôle dans l'attention, dans le fonctionnement du cœur et des reins.
La sérotonine : Qui est un neurotransmetteur également. C'est une hormone que l'on entend sous le nom "hormone du bien-être". Elle permet la régulation de l'humeur, de l'émotivité, des comportements addictifs, de la dépression. Elle favorise le sommeil car elle est le précurseur de la mélatonine (Hormone du sommeil).
Le cortisol qui reste la principale hormone.
Chaque personne va mettre en place des stratégies différentes pour gérer ce stress.
La phase 3 de décompensation du stress : L'épuisement
Une fois le stress passé, si la réaction a permis de faire face au stress, super, l'équilibre hormonal est rétabli. L'organisme passe en mode parasympathique et revient à son équilibre initial.
On ressent de la fatigue (Normal avec toute cette dépense d'énergie. On a presque couru un marathon), de la faim (Le sucre a été utilisé pour avoir l'énergie nécessaire de fuir le stress)
Le corps est bien fait, on va récupérer. Cela ne sera pas toxique pour notre corps.
Par contre, si l'action ne permet pas de résoudre ce stress, si ce stress dure trop longtemps, sans que l'on puisse régler ce problème, l'organisme va aller droit vers la phase d'épuisement.
Attention la dépression, le burnout pointent leur bout de leur nez.
On le voit de plus en plus dans notre civilisation. En effet lors de la préhistoire, les hommes avaient un stress ponctuel (Un animal féroce voulait le manger. Certes un seul mais costo !!!).
Aujourd'hui notre patron nous gonfle, notre mari est épuisant, les enfants à gérer, le stress de finir les fins de mois (Et tant d'autres moments stressants de notre vie).
Et là on parle de stress chronique.
La phase d'épuisement est la phase où l'on a lutté jusqu'au bout. Notre organisme a fonctionné à plein régime. Le corps et le psychique deviennent faibles à cause de ce stress constant.
Le taux de sérotonine va chuter ainsi que celui de la dopamine, du magnésium, le sucre ... Le système immunitaire va s'affaiblir
Dans les mécanismes du stress, la mémoire joue un rôle fondamental. Face à une situation de stress, la personne va garder en mémoire soit son action positive, soit son inhibition d'action.
La personne va garder en mémoire ce stress, et si ce stress se représente, sa mémoire s'activera. Selon son action positive ou négative, elle agira différemment.
Ce schéma montre comment les hormones et les minéraux agissent durant ces phases de stress.

La différence entre le stress de surmenage et le stress d'inhibition
Le stress d'inhibition : C'est quoi ?
L'état de stress d'inhibition correspond au fait qu'une personne "se fait oublier". Ses fonctions métaboliques vont se ralentir et son état émotionnel sera également sous silence (Abattement, prostration)
Quand ses émotions s'installent durablement, la peur va céder à l'anxiété, à l'agitation, la colère va passer à l'agressivité et l'abattement à la dépression
Le stress de surmenage
Le stress de surmenage désigne un état de fatigue extrême lié à une surcharge mentale, émotionnelle et physique. Le stress de surmenage survient généralement lorsque les individus sont confrontés à un stress chronique, souvent lié à des exigences professionnelles trop élevées, sans avoir suffisamment de ressources ou de soutien pour y faire face.
Ce schéma montre les 2 types de stress chronique que nous pouvons subir.

Que ce soit le stress de surmenage ou le stress d'inhibition, il y aura une phase de dépression.
Et selon le type de stress, on aboutira soit à un Burn Out dans le stress de surmenage, soit à une pathologie dans le cadre du stress d'inhibition.
Les effets du stress sur le corps et l’esprit
Lorsque nous sommes soumis à une situation stressante, notre corps réagit immédiatement. Si, à court terme, cette réponse peut être utile pour faire face à une situation urgente, à long terme, les effets du stress peuvent devenir délétères.
Les conséquences du stress sur le métabolisme et la biologie
Au niveau métabolique :
Lorsque le processus de stress est enclenché, il y a une fuite du magnésium et du zinc. Si le stress disparaît rapidement, le stock se refera normalement. Par contre si le stress devient chronique ou si les événements stressants sont répétés, notre corps sera en carence. Cela sera la même chose pour le groupe des vitamines B.
On a vu que lors d'un stress, le cortisol avait des taux anormalement hauts, cela nous expose à des risques d'obésité viscérale, une augmentation des lipides sanguins... On appelle cela le syndrome métabolique. Qui entraînera des risques de diabète de type 2, des maladies cardiovasculaires et d'AVC.
Le haut taux de cortisol durant le stress augmente la faim. On est attiré par les aliments riches en calories. (C'est sûr que le céleri fait moins envie que la tablette de chocolat !!!). Cela va nous conduire au syndrome métabolique et à l'obésité.
Le stress perturbe le sommeil. On sait que le sommeil perturbé est un facteur de risque de prise de poids et de maladies métaboliques. Le manque de sommeil ou le mauvais sommeil augmentent le taux de ghréline (Hormone qui stimule l'appétit) et vont diminuer le taux de leptine (Hormone qui induit la satiété).
Au niveau biologique :
Le stress qui devient chronique entraîne divers troubles sur le physique.
Les troubles digestifs : Le stress fragilise la muqueuse gastrique, pouvant conduire à des ulcères, des spasmes, de la diarrhée...
Les troubles musculosquelettiques : Les tensions psychologiques dues au stress sont souvent décrites par des douleurs dorsales ("J'en ai plein le dos")
Les troubles de l'immunité : A cause du stress notre immunité est en berne. Le cortisol en excès détruit le thymus (Fabrique et libère les lymphocytes T). Le système orthosympathique favorise l'inflammation. Cela aura une incidence sur les fonctions immunitaires et sur la muqueuse intestinale et donc la flore intestinale. Cette flore intestinale qui assure 80 % de notre immunité. Cette baisse de l'immunité à cause du stress peut nous conduire à avoir des infections, des maladies auto-immunes, des cancers...
Les troubles du sommeil : Due à l'hypersécrétion du cortisol lors de stress chronique.
Les troubles cardio-vasculaires : Palpitations cardiaques, douleurs, gêne dans la poitrine, hypertension, angine de poitrine.
L'hyperthyroïdie.
La peau : Pâleur, froideur des extrémités...
Conséquences du stress sur le psychologique
Un état de stress chronique conduit à de l'agitation, de l'anxiété, de l'irritabilité, de l'inquiétude, difficulté de concentration, replis sur soi, manque de confiance en soi, sentiment permanent de tension, manque de motivation, absences répétitives, abandon de projet personne, addictions…
La dépression peut arriver lors d'un stress chronique. Lorsque la personne est en état de dépression, le processus de stress est terminé. La personne n'a plus la capacité à réagir et à agir.
Le Burn-out lui aboutit lors d'un stress de surmenage. On le voit souvent lors d'un épuisement professionnel.
Le syndrome de stress post-traumatique : Il est caractérisé par des symptômes spécifiques suite à un événement traumatique intense (Lors des attentats, catastrophes naturelles, agression sexuelle, blessures grave...)
Conclusion
Le stress fait partie intégrante de la vie et, en petites doses, il peut être un moteur de performance et d'accomplissement. Cependant, lorsqu’il devient excessif ou chronique, il peut avoir des répercussions graves sur la santé. Apprendre à reconnaître ses signes, à identifier ses causes et à adopter des stratégies de gestion efficaces est essentiel pour maintenir un équilibre et préserver son bien-être mental et physique.
Tu es le seul à te connaître et à mettre en place des mécanismes de défense adaptés à ton stress.
Dans un autre blog, je peux t'aider à trouver ce qui peut être mis en place pour que tu puisses gérer ton stress de façon naturelle grâce à l'hypnose et la naturopathie.



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